Baie d’Amérique du Nord et d’Europe que l`on nomme atoca, mot d’origine amérindienne.
Les canneberges étaient utilisées par les Amérindiens autant comme ingrédient culinaire que comme médicament. Aujourd’hui, on la cultive dans plusieurs états américains ainsi qu’au Québec et en Colombie-Britannique.
La canneberge contient de la vitamine C, du potassium, de l’acide citrique, de l’acide oxalique, des flavonoïdes et contient des fibres. Elle est astringente et on la dit bénéfique pour la circulation sanguine, la peau et le système digestif. La canneberge permet d’isoler les bactéries qui peuvent se retrouver au niveau des gencives, de l’estomac ou des voies urinaires.
Prendre de façon quotidienne un verre de jus de canneberge fait à partir de concentré de jus de canneberge aide à la prévention des infections nommées ci-haut.
Il est facile de se procurer de la canneberge fraiche, à bon prix et d’en faire des provisions à l’automne. Éviter de laisser les canneberges à la température ambiante, car elles s’endommagent rapidement. Les conserver au réfrigérateur ou les congeler telles quelles. Lavez-les seulement au moment de les utiliser. Retirer les tiges et les fruits mous, ridés ou moisis.
On utilise les baies fraiches ou séchées dans les muffins, pains, biscuits ou gâteaux. On transforme les fruits frais ou congelés en compote, gelée ou confiture. Elles accompagnent à merveille, tant par leur saveur que par leur couleur, le porc, le poulet, la dinde et les repas traditionnels de l’Action de grâces et de Noël. Elles se marient bien avec les agrumes, les pommes et les poires. Elles agrémentent les salades vertes et le couscous.
Source : 101 aliments qui peuvent vous sauver la vie de David Grotto et L’encyclopédie visuelle des aliments (Québec/Amérique International)